Nous avons eu, avec mon épouse Cécile, un véritable coup de coeur pour cette forêt située à Lavoine dans l’Allier. Composé de chênes rouges d’Amérique, d’Erables Sycomores et principalement de hêtres, le massif s’est étoffé au fil du temps par l’achat successif de parcelles attenantes.

Nous étions très attachés à ce bien « palpable » que nous connaissions bien. Nous aimions en faire le tour en famille, nous connaissions ses arbres... En fait nous n’avons jamais pu nous résoudre à en abattre un seul. Nous n’avons jamais fait de coupes. Dans ce sens, nous ne sommes pas de très bons gestionnaires. Nous n’avons pas décidé tout de suite de vendre lorsque nous avons déménagé au Québec. Mais au fil du temps et avec la distance, nous avons finalement opté pour la vente de notre bien mais sous une forme tout à fait moderne à nos yeux : le GFI.

Ainsi, nous avons l’impression de confier notre forêt à des professionnels pour qu’ils continuent le travail qui permettra de la conserver. La gestion en GFI va permettre de la valoriser tout en la régénérant.

A tout juste 4 mois Alma est propriétaire de 6 parts du Groupement Forestier CoeurForest. Ce n’est pas commun pour un cadeau de naissance et pourtant c’est ce qu’a reçu la fille d’Aurélie Gauthier de son employeur. Original et responsable, le placement sensibilise tout de suite à la question environnementale tout en cumulant bon nombre d’avantages.

« Nous avons accueilli avec plaisir ce cadeau assez exceptionnel je dois dire. C’est un très beau cadeau qui souligne l’importance de la nature et de la forêt. Ce présent peut paraitre symbolique mais en fait, il est très concret. Ces « parties de nature » sont désormais la propriété de notre petite fille mais également de sa responsabilité. Ce sont d’excellentes bases pour l’apprentissage de ce qui nous entoure et la sensibilisation à la préservation des milieux naturels. Dès qu’elle sera en capacité de découvrir, nous pensons partir pour de petits « voyages initiatiques » afin de visiter ces forêts qui composent le GFI. Une belle thématique de vacances ! »

Ces parts de groupement forestier revêtent pour Alma une symbolique très forte et cumulent des valeurs : environnementale, refuge, patrimoniale. Intemporelles, ces parts du GFI CoeurForest sont la promesse d’un avenir placé sous le signe de la nature.

Ingénieur dans un grand groupe de Télécom , Christian Carli travaille à la Défense, au cœur du quartier d’affaires. Pour lui, le GFI est le bon compromis entre un placement tangible dans une parcelle de nature et sa gestion par des professionnels :

« Je souhaitais depuis longtemps investir dans un bien tangible. Il faut dire que j’ai passé les vacances de mon enfance chez ma grand-mère, à la campagne et nous passions beaucoup de temps en forêt. Par la suite, mon beau-père a partagé avec moi ses connaissances de la forêt. Il était propriétaire dans le beaujolais de quelques parcelles de forêts dispersées. Je me suis posé la question de reprendre l’exploitation de ses bois à l’époque où il voulait transmettre. En effet les arbres étaient arrivés à maturité. Mais les questions du temps et des compétences forestières se sont vite posées : je ne les avais pas. »

Avec mon épouse, nous étions sensibles à la question du GFI étant déjà dans un groupement foncier agricole pour des vignes. Ce qui m’a plu dans le GFI CoeurForest, c’est de pouvoir investir tout en profitant de l’ensemble de ses biens. L’idée de pouvoir se promener, utiliser les forêts appartenant au GFI, se balader dans son placement m’a vraiment séduit. J’ai aussi apprécié l’Assemblée Générale qui a été un moment fort de découverte et d’apprentissage avec de véritables forestiers. La promesse est tenue sur le terrain et la rencontre avec les experts est très riche.

Jacques Grandjean, spécialiste des interactions des hommes au sein des groupes, des organisations et des territoires a toujours considéré la nature et particulièrement la forêt comme essentielles à l’équilibre des groupes sociaux. C’est pourquoi il cherchait depuis quelques temps à procéder à un investissement vert sans pour autant avoir à gérer une forêt.

« C’est en effectuant des recherches sur internet que j’ai découvert le principe du GFI : Groupement Forestier d’Investissement. Ce placement m’a tout de suite intéressé pour plusieurs raisons : je n’avais pas les compétences pour gérer seul un patrimoine forestier qui demande une grande expertise et grâce au GFI on accède à une grande diversité de forêts situées partout en France, ce qui est intéressant en termes de problématique et qui limite également le risque.

Acquérir des parts d’un GFI constitue également un placement relativement sûr, avec une rentabilité assez stable. Enfin, à ma manière, je contribue à la préservation et à l’entretien des forêts par des pratiques plus respectueuses de l’écosystème que celles de l’agroforesterie « industrielle ».